Films documentaires TV

2021 « Le cinéma Français et l’épuration, les témoignages oubliés »
film lepuration

Si, au lendemain de la défaite de juin 1940, des personnalités, parmi les plus brillantes du cinéma français, choisissent l’exil, la grande la majorité des techniciens et des artistes reste en France. Quelques-uns rejoignent la Résistance, la plupart continueront à travailler sous le double contrôle, économique et idéologique, de l’occupant allemand et des autorités vichyssoises. En 1943, la décision du Général de Gaulle, chef du Comité Français de la Libération Nationale, de procéder à l’Épuration, suscite au sein de la Résistance beaucoup d’espoir. C’est au Comité de Libération du Cinéma Français, émanation de la Résistance communiste, qu’est confiée la responsabilité d’assainir la profession. Il se retrouve vite confronté à un dilemme : Qui doit être « épuré » ? Les professionnels qui occupent « un poste de commandement » ou seulement les patrons des entreprises de production, de distribution, d’exploitation et des industries techniques ? En octobre 1944, deux ordonnances vont semer le trouble…

2020 « Alfred GREVEN et la continental, la fin d’une affabulation » documentaire de 60 minutes
la continentale

En 1935, Alfred Greven, un jeune Allemand adhérent du parti nazi produit un des films de référence majeure du IIIème Reich. En 1939, Joseph Goebbels le nomme à la tête de la UFA, société historique et prestigieuse du cinéma allemand. Licencié à la suite d’un scandale de mœurs, il reçoit en 1940 la mission de mettre au pas le cinéma français et de bâtir un cinéma européen sous domination allemande. Il se heurte alors à de nombreux obstacles qui le poussent à créer la Continental Film, société juridiquement française à capitaux allemands. Ce film relate l’histoire du créateur de la Continental Film dont l’aventure cinématographique va se poursuivre de façon pitoyable dans l’Allemagne vaincue.

2019 « La cour des Fabriques » , documentaire de 84 minutes
cour des fabriques

Alain Tyr le réalisateur a grandi dans le 93, « fils de flic ». Ce passé lui a bouffé son enfance à la fin des années 60. Cinquante années plus tard, le hasard d’un rendez-vous l’amène « cour des fabriques » 70 rue Jean Pierre Timbaud à Paris. Il découvre qu’il y est venu enfant. C’est là que ses grands parents se sont installés quand ils ont quitté leur Loire natale, c’est là où son père a grandi, là où il habitait durant l’occupation quand il a choisi en 1943 de devenir « gardien de la paix ». Remué par cette coïncidence, il part sur les traces de ce père flic qui a désobéi aux ordres de Vichy en cachant et protégeant des juifs. S’interrogeant sur l’origine de cette démarche que peu de nos concitoyens ont eu, il redécouvre les valeurs de ses grands-parents militant anarchistes et d’anciens habitants qui y ont vécu l’occupation et s’interroge sur ce devoir de désobéissance qui a sauvé la République.

2018 « Revenir », documentaire

En 2004, un artiste funambule s’embrase lors d’une performance underground sur un câble à haute tension et sombre dans un profond coma après une chute de 12 mètres.
C’est l’histoire d’une reconstruction extraordinaire. Le funambule nous livre son chemin intérieur et sa méthode.

2016 « Films de famille »
films de famille

Version 90 minutes et version 60 minutes – un film de Alain Tyr

Ce film retrace l’histoire du film de famille : les essais des frères lumières en 1895… la première projection publique de l’Histoire du cinéma… l’arrivée du Pathé-Baby avec Charles Pathé… détourné par le cinéma expérimental de Jonas Mékas… repris par les plus grands cinéastes… ce film offre également une réflexion transversale sur l’évolution de la famille.

 

2016 « Bernard Natan, le fantôme de la rue Francoeur »
le fantôme de la rue francoeur

Bernard Natan, français d’origine roumaine, né sous le nom de Natan Tanenzapt à Jassy en Roumanie, arrive en France à l’âge de 20 ans. Après la grande guerre qu’il fera comme engagé volontaire du côté de la France, il se lance dans la production de films.
En 1927, avec sa société Natan Productions, il inaugure les studios Francoeur à Montmartre. Deux ans plus tard, il prendra la direction de la célèbre firme Pathé qu’il va transformer en Pathé-Natan. Il développe la firme et la revue cinématographie Française lui consacre un numéro qu’elle titre : « Une grande firme, un grand chef, Bernard Natan ». Mais la crise économique boursière américaine traverse l’atlantique et la déclaration de guerre avec l’Allemagne et l’antisémitisme feront chuter ce patriote jusqu’à le mener dans les camps de la mort.

 

2016 « Murs à pêche, parcelles de vie »
jaquette mur a pêche

Durée 120 minutes- coproduction Label Vidéo & Évasion en Vidéo- diffusion TVM Est Parisien

Ballade dans les murs à pêche de Montreuil, d’hier et d’aujourd’hui. Construits aux portes de Paris dès le 17e siècle, ils étaient destinés à la culture en espaliers des pêchers puis des poiriers et pommiers. Ces murs de culture ont permis à Montreuil de se faire connaitre du monde entier pour la qualité de ses fruits. Dans toute l’Europe, les tsars, reines et rois, se faisaient livrer les meilleurs fruits, le reste se vendait aux halles, alimentant ainsi le tout paris. Auguste Fauchon envoyait ses collaborateurs chez les arboriculteurs montreuillois pour y choisir les fruits d’exception. Sur 500 hectares, 35 existent encore aujourd’hui dont 8 sont classés aux titres du paysage. Dans ces espaces parcellaires et labyrinthiques, des hommes et des femmes nous livrent leurs secrets.

 

« Jean Zay, ministre du cinéma » de 74 minutes et version 60 minutes
film jean Zay

En février 1937, Jean Zay, ministre de l’Éducation Nationale et des Beaux-arts, intègre le cinéma dans ses prérogatives et donne, enfin, une place centrale au 7ᵉ art.
Pionnier de la démocratisation culturelle contre le conservatisme et l’élitisme de l’époque, il dépose un projet de loi de réorganisation de la profession.
Le cinéma devient une affaire d’État. Enfin, en visionnaire, il annonce, en 1939, la création d’un grand prix National du cinéma français et d’un Festival de films International à Cannes, soit le Festival de la « liberté de création ».
Un film de Alain Tyr et Francis Gendron en collaboration avec Alain Braun
Coproduction : Label Vidéo – Évasion Vidéo – TVM Est Parisien
Aidé par le CNC, avec le soutien de La Procirep-Angoa

 

« Flash-Back » de 84 minutes

C’est l’histoire d’un môme de Montreuil, en Seine-Denis, manquant de se perdre après des années d’insultes proférées par ses copains de classe à cause de la profession de son père : « Sale fils de flic ».

Drogue, deal, virées à moto, rock en roll, fric facile, addiction…, tout y passe pour échapper à l’insupportable monde des adultes. Des parents aimants, un appareil photo et une caméra vont briser la spirale infernale… C’est une histoire de cinéma

 

2013 « L’irrésistible ascension » de 60 minutes
l'irresistible ascension

Désireux de réaliser leurs premiers films, de jeunes critiques s’attaquent à la mainmise des anciens sur le cinéma. Parallèlement producteurs et exploitants se bagarrent pour la répartition et la redistribution de la taxe additionnelle sur les billets d’entrées des salles de cinéma alimentant le fond pour le cinéma. De cette période va naitre de nouveaux codes et modèles de production. André Bazin et André Malraux soutiendront ce mouvement naissant et « l’avance sur recette » verra le jour.

 

2012 « L’affrontement » film de 60 minutes
jaquette affrontement

L’aventure débute dans un Paris insurgé en août 1944, par l’occupation des locaux du COIC par le comité de libération du cinéma Français issu de la Résistance. L’aventure se poursuit par la création de la Confédération, organisme patronal du cinéma regroupant les exploitants, les industries techniques, les producteurs et les distributeurs. Les affrontements entre les uns et les autres pour la répartition de la taxe additionnelle sur les billets d’entrée est cinglante. Ils font appel à l’État comme régulateur. S’ensuit l’avènement d’un organisme d’État : le CNC.
Tout est en place pour la bataille qui va s’avérer décisive pour le cinéma français.

 

2011 « La face cachée d’une renaissance » de 60 minutes
face cachee renaissance

La période 1939-1944 va curieusement permettre la mise en application sous l’occupation d’un rapport   sur l’industrie cinématographique élaboré en 1936 par Guy de Carmoy, alors jeune inspecteur des finances. Paradoxalement alors que les Allemands créent en France leur société de production cinématographique avec une ambition européenne, et possédant tous les droits, le cinéma français va renaître pendant cette période grâce à des hommes comme jean Zay, Guy de  Carmoy,  Wilfrid  Baumgartner, Raoul Ploquin, et ceci sous le regard exacerbé des Allemands.
Ce film retrace les pas de ces hommes qui, au sein du comité d’organisation de l’industrie du cinéma créé sous Vichyvont se battre pour faire renaître le cinéma français.
La mesure la plus remarquable va être d’utiliser le Crédit National pour venir soutenir la production cinématographique française… Un film d’Alain Tyr et Francis Gendron

 

2010 « Rouge Passerelle » : film de 55 minutes
rouge passerelle finale

Monique Bergonhe, ex-professeur d’Arts Plastiques et Artiste, a toujours mené de front, depuis sa sortie de l’École Normale supérieure de Cachan, son travail d’Artiste et son travail d’enseignante. On découvre au fil du récit entrecoupé par des points de vue de ses anciens élèves interviewés 20 ans ou 10 ans après leur période scolaire avec elle, comment Monique a su mêler sa vie personnelle, sa vie d’Artiste et son enseignement et comment toute cette matière perdure encore aujourd’hui dans les relations qu’elle sait entretenir avec ses anciens élèves et tout cela au travers d’un processus artistique.

 

2009 Pierre Guffroy, chef décorateur et poète » : film de 60 minutes​
pierre guffroy

Ce film nous permet de comprendre pourquoi Pierre Guffroy est l’un des plus grands chefs décorateurs de cinéma, il nous montre quels sont les partis pris qui guident sa ligne de conduite, bâtie sur une véritable réflexion de ce que doit être un décor. Il nous explique pas à pas la conception qu’il a de son métier, ses avancées dans ses prouesses techniques, en nous montrant comment il a abordé ses différentes réalisations, qu’il s’agisse de perspectives, de trompe-l’œil, de mélange de décor réel et de décor fabriqué, de sens du décor, il nous parle de ses ententes ou affrontements avec les réalisateurs, avec les producteurs, de sa vérité bien à lui sur le décor en tant que « personnage », costume de l’acteur.

 

2008 « Les Khatchkars entrent au Louvre » : film de 52 minutes
les khatchkars entrent au Louvre

“Les khatchkars entrent au Louvre” sur les coulisses de l’exposition « Armenia Sacra » et le suivi des œuvres depuis leur terre d’origine en Arménie et au Karabagh jusqu’au Musée du Louvre.
Ce film documentaire met en scène deux aventures.
Nous suivons tout au long de l’histoire deux itinéraires qui se croisent.
Le premier est l’aventure du transport des Khatchkars ( croix en pierre) et leur arrachement du sol et des lieux cultes, depuis l’Arménie et le Haut Kharabagh, jusqu’au Musée du Louvre à Paris pour l’exposition « Arménia Sacra » où ils seront présentés au public pour la première fois. Le deuxième itinéraire est le parcours d’un artiste plasticien d’origine arménienne parti découvrir ses origines en réalisant des empreintes au fusain des khatchkars sur ses toiles et sur les sites même de leur représentation. Deux manières opposées de rendre hommage à cet art sacré Arménien.

 

2007 Une série humoristique de fictions intitulée :« L’ascenseur »
l'ascenseur

Série Humoristique.
Soit une série de 15 fois 6 minutes sur une base de 17 personnages, certains se croisent, se supportent, vivent ensemble et se retrouvent dans un ascenseur.

 

2006 « Le drapeau Brésilien et Auguste Comte » : film de 90 minutes
drapeau brésilien

Film sur l’histoire du drapeau brésilien. Sous la forme d’une investigation, ce film met en scène le réalisateur, en quête de l’origine de l’inscription de la devise « Ordem et Progresso » (Ordre et Progrès) sur le drapeau national du Brésil.
Le drapeau créé à l’occasion de la naissance de la république, le 15 novembre 1889.
Comment et pourquoi la devise du philosophe français Auguste Comte a-t-elle pu se trouver sur le drapeau national Brésilien ?
Ce documentaire, tourné au Brésil, répond à cette question en mettant en scène des multiples témoignages sur ces événements passés et leur portée dans le Brésil d’aujourd’hui.
Des images d’archives et d’activité viennent illustrer cette quête qui nous porte de Rio de Janeiro à Porto Alègre, puis à Manaus et jusqu’au fin fond de la forêt amazonienne dans une tribu indienne. Il permet également de s’initier à la pensée d’Auguste Comte, créateur de la sociologie.

 

2005 « À la rencontre du dragon et des nuages » : film de 52 minutes
yersin

Film sur la vie d’Alexandre Yersin au Vietnam, découvreur du Bacille de la Peste en 1894 à Hong Kong, Pasteurien, parti de France à l’âge de 27 ans, ayant passé sa vie au Vietnam, son pays d’adoption, offre à la fois une vision poétique sur l’homme et ses valeurs, tout en s’appuyant sur la réalité de sa vie et de son être.
Explorateur, aventurier, scientifique, humaniste, chercheur, idéaliste, utopiste, enseignant, médecin, cartographe, savant, sa vie a de quoi nous faire rêver.
C’est l’homme qui a créé le second institut Pasteur hors de France en 1895 à Nha Trang au Vietnam.
Visionnaire, entrepreneur, il a su mettre en place des solutions lui permettant de développer ses recherches et la production de ses sérums et vaccins.
Ce film nous offre la vision que les Vietnamiens portent sur ce personnage.

 

2004 « La déesse mère » : film de 90 minutes
la desse meere
Recréation d’un spectacle vivant de danse orientale sur scène, entrecoupé de séquences vidéo sur le quotidien d’une danseuse orientale et qui retrace l’histoire de la danse orientale depuis la nuit des temps jusqu’à aujourd’hui sous la forme de onze tableaux, 10 artistes sur scène et 60 costumes, a de quoi nous impressionner. Les décors vidéo projetés sur le fond de scène ont été créés par Pierre Guffroy, l’un des plus grands chefs décorateur du vingtième siècle et qui, pour la première et dernière fois de sa vie, a travaillé sur des décors en 3 D. Mené tambour battant par la danseuse et chorégraphe Ottilie Eucher, ce spectacle qui a été jusqu’au Palais des congrès du Mans nous comble d’émotion. Malek Chebel, Écrivain et auteur du dictionnaire amoureux de l’Islam dira de cette artiste chorégraphe :« La danse du ventre est un art complet et difficile qui m’intéresse depuis une quinzaine d’années. Parmi toutes les danseuses que je connais, aussi bien en France que dans le monde arabe, Ottilie est sans doute celle qui allie le mieux la grâce des mouvements à la richesse des enchaînements, la créativité visuelle à la beauté strictement plastique. Ses improvisations sont étonnantes.
2004 « La princesse des sables » : film de 26 minutes

Portrait d’une chorégraphe et danseuse Orientale.
Biopic sur la vie de la chorégraphe et danseuse orientale Ottilie Eucher.
Le réalisateur la suit dans ses prestations privées et recueille précieusement son quotidien.

 

2004 « Cours de danse orientale par Ottilie »

Cours de danse orientale par Ottilie.
Depuis quelques années, l’apprentissage de la danse orientale rencontre un grand engouement auprès des femmes. En effet, cette danse permet à la femme d’exprimer sa féminité, quel que soit son âge, et de trouver sa propre expression, hors des stéréotypes. Travail sur le corps, souplesse, dissociation, improvisation dans les enchainements dans une atmosphère de détente et de bonne humeur où la musique aux multiples rythmes stimule la danseuse. Cours par la danseuse et chorégraphe : Ottilie Eucher

2003 «Edith Scob, une comédienne si étrange » : film de 52 minutes
Edith Scob

Portrait d’une comédienne.
Ce film retrace le parcours de l’actrice et comédienne Edith Scob depuis les films de Georges Franju jusqu’à son amour pour le théâtre.

 

2002 « Envoyé spécial pour l’émission Galilée »

Envoyé spécial pour l’émission Galilée sur la cinquième au Bahamas pour le sujet sur Christophe Colomb ( JRI)
Alain Tyr est embauché comme JRI ( journaliste reporter d’image) afin de partir seul aux Bahamas retrouver la trace de l’ancre jeté par Christophe Colomb aux abords de ces côtes et recueillir des croyances locales.

2002 « L'Image et la mémoire »
l'image et la memoire

L’association « l’Image et la mémoire » subventionné par la SACD, afin d’enregistrer des entretiens filmés sur tous les gens qui ont fait le cinéma du 20e siècle.(producteurs, acteurs, techniciens…)
Alain Tyr travaille comme journaliste reporter d’image au sein de l’association qui a pour but d’enregistrer les témoignages de tous ceux qui ont fait le cinéma du vingtième siècle avant leur disparition.

 

Réalisation de 12 émissions de 13 minutes intitulées : « Macadam Montreuil »

Déambulation d’un animateur TV dans la ville avec un véhicule plateau TV électrique pour accueillir ses invités et lancement de sujet.
À travers cette émission de télévision, Montreuil nous dévoile sa vitalité associative.
Sous forme de balade, notre plateau de TV itinérant et son animateur-présentateur, Alain Tyr, accueil au détour d’une rue, les personnalités qui animent nos quartiers.

 

Réalisation de 12 émissions de 13 minutes intitulées : « Récits de Vie ».
reecits de vies

Portrait de personnages charismatiques habitant Montreuil.

 

Réalisation de 12 émissions de 13 minutes intitulés : « Comment t’as fait ? »
comment tas fait

De jeunes adolescents vont à la rencontre de chefs d’entreprise afin de découvrir le chemin parcouru par ceux-ci avant d’arriver à ce qu’ils sont.

 

Film de 26 minutes sur le chanteur, poète cubain Pablo Milanes intitulé : « El Tiempo Pasa  »
jaquette pablo milanes

À travers le témoignage de ses proches, soit des plus grands chanteurs et musiciens cubains, tels que Chico Buarque, Manuel Mendive, Angel Parra, Oscar Lopez, le réalisateur Danielo Lejardi dresse un portrait vivant et dynamique d’un des fondateurs de la « nueva Trova » : Pablo Milanes.
Ce Musicien, chanteur et poète est également député à La Havane.

Diffusion : 15 diffusions sur M6 dans l’émission documentaire “Nuit” de Christine Lentz

 

Coréalisation d’un film de 13 minutes sur le thème du Sida à Cuba intitulé « Los Cocos »
los cocos

Cuba, décembre 1992
Reportage-enquête auprès des jeunes cubains sur la prévention, l’appréhension du Sida.
Visite d’une banque de sang, interview du médecin en chef : le point de vue officiel au sujet du sang contaminé.
Ce reportage va jusqu’à pénétrer dans un « Sidatorium », lieu où sont conduites toutes personnes contaminées sans possibilité d’en sortir. Ce film apporte un regard sur le problème du Sida à Cuba. À travers des rencontres, il tente de situer ce problème dans le contexte d’un pays socialiste en pleine crise économique, sociale et politique.

Film réalisé par Norma Guevara et Alain Tyr

Réalisation d’un film de 13 minutes sur la danse Marquisienne
motu haka

Réalisation d’un film de 13 minutes sur la danse Marquisienne lors d’une tournée de la troupe de ballet “Motu Haka” en France dans les festivals Musiques du Monde, film intitulé : “Motu Haka chez les Poopas”

 

1990 Livre « la clef de la liberté » récit de vie sur mes traversées du Sahara
la clef de la liberte

Récit de vie sur mes traversées du Sahara Algérien au travers de 3 voyages et organisé en 3 voyages initiatiques.
160 photos en quadrichromie légendées sous la forme d’un parcours initiatique